CONCLUSION
Ce travail de thèse permet d’appuyer l’importance d’une formation sur le domaine de la santé environnementale avec une remise en cause en profondeur de notre conception de la santé.
Les progrès notamment dans le domaine médical peinent à voir le jour, la pratique de la médecine générale entraine une part de pollution non négligeable tant dans leur aménagement que dans la pratique de soins durables, alors que les répercussions sur la santé physique et mental n’ont jamais été aussi présentes.
Les internes de médecine générale se sentent dépourvues et abandonnées seules dans leur cabinet face à cette problématique de santé environnementale. Un travail multidisciplinaire réunissant divers acteurs de la santé et de la politique semble donc nécessaire afin d’établir rapidement les modalités d’enseignement en lien avec les rapports sur le climat, avec une communication importante notamment vis-à-vis des internes en recherche d’information et de formation. L’un des axes prioritaires sur lesquels on pourrait travailler serait la sensibilisation des professionnels de santé via un travail collectif dans le cadre des CPTS en lien avec les élus locaux, les ARS et les Caisses Primaires d’Assurance Maladie (CPAM).