Juin 2009
L’évaluation économique en santé fait l’objet de nombreuses publications scientifiques et la presse professionnelle s’en fait souvent l’écho. Il nous a semblé intéressant de savoir comment les médecins généralistes la percevaient et comment ils l’intégraient dans leur pratique.
Pour cela, la Société Française de Médecine Générale s’est associée à la Commission Evaluation Economique et Santé Publique de la HAS pour réaliser une enquête auprès des 8800 généralistes de sa liste de diffusion.
L’analyse des 860 questionnaires retournés a été présentée au congrès de la Médecine Générale de Nice 2009. De manière globale, une majorité des médecins généralistes interrogés (59%) a déclaré avoir un niveau de connaissance modeste en évaluation économique, mais considère que cette information est utile en général (61%) et ils étaient 45% à la juger utile pour la décision médicale.
Si les médecins ont déclaré rencontrer de nombreux obstacles à l’utilisation des données de l’évaluation économique en santé, ils ont aussi souhaité être mieux formés à ses concepts et pouvoir accéder plus facilement aux données, en particulier par leur intégration dans les recommandations de pratique clinique.
Pour cela, la Société Française de Médecine Générale s’est associée à la Commission Evaluation Economique et Santé Publique de la HAS pour réaliser une enquête auprès des 8800 généralistes de sa liste de diffusion.
L’analyse des 860 questionnaires retournés a été présentée au congrès de la Médecine Générale de Nice 2009. De manière globale, une majorité des médecins généralistes interrogés (59%) a déclaré avoir un niveau de connaissance modeste en évaluation économique, mais considère que cette information est utile en général (61%) et ils étaient 45% à la juger utile pour la décision médicale.
Si les médecins ont déclaré rencontrer de nombreux obstacles à l’utilisation des données de l’évaluation économique en santé, ils ont aussi souhaité être mieux formés à ses concepts et pouvoir accéder plus facilement aux données, en particulier par leur intégration dans les recommandations de pratique clinique.