Médecin de famille, spécialiste en médecine générale, spécialiste en soins primaires, médecin traitant, quelle que soit l’appellation retenue, ce sont d’abord les différentes fonctions assumées par les médecins généralistes qui les rendent indispensables, indispensables pour les soins quotidiens de chacun, indispensables pour le maintien de toute politique de santé fondée sur l’accessibilité et l’efficacité des soins pour tous, indispensables dans les discours des décideurs des politiques de santé au fur et à mesure de leur raréfaction sinon disparition dans certaines régions ou quartiers.
Les jeunes générations de médecins ne choisissent pas ce métier, non pas par manque d’intérêt, mais par manque d’une organisation nationale facilitant cet exercice complexe, prenant et difficile. Le paradoxe du médecin traitant est
d’avoir été reconnu par deux lois successives en 2004 et 2009 et de faire le constat persistant de ces difficultés.
Chacun a une opinion partielle de « son » médecin traitant (98 % des assurés sociaux ont choisi un médecin généraliste), la vision de ces médecins généralistes, de la spécificité et diversité de leurs rôles est celle de l’iceberg : la partie invisible
est la plus importante.
C’est ce que tente de décrire cette publication.
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Septembre 2010