Octobre 2003
Introduction
Malgré un battage médiatique important qui met en exergue une prévalence élevée des dysfonctions sexuelles en population générale, les médecins généralistes sont-ils prêts
à prendre en charge cette pathologie ?
Conclusion
Il reste sans doute un long chemin à parcourir pour que les mentalités des médecins comme des patients évoluent : les dysfonctions sexuelles masculines sont rarement prises en charge chez les patients de moins de 40 ans, tranche d’âge où l’éjaculation rapide serait la plus fréquente ; 2 elles le sont encore plus rarement chez la femme ménopausée, renvoyant à des stéréotypes apparemment bien ancrés.
Malgré un battage médiatique important qui met en exergue une prévalence élevée des dysfonctions sexuelles en population générale, les médecins généralistes sont-ils prêts
à prendre en charge cette pathologie ?
Conclusion
Il reste sans doute un long chemin à parcourir pour que les mentalités des médecins comme des patients évoluent : les dysfonctions sexuelles masculines sont rarement prises en charge chez les patients de moins de 40 ans, tranche d’âge où l’éjaculation rapide serait la plus fréquente ; 2 elles le sont encore plus rarement chez la femme ménopausée, renvoyant à des stéréotypes apparemment bien ancrés.