Mars 2015
Poster présenté au Congrès de la Médecine Générale 2015. Paris
70% des consultations sont des situations non caractéristiques d’une maladie. La démarche du médecin généraliste est différente de celle de ses confrères du 2e et 3e recours. L’hospitalier travaille légitimement sur la quête systématique d’une étiologie, quand le généraliste fonctionne, tout aussi légitimement, sur un mode probabiliste par fréquence de maladie. Le praticien, face à cette incertitude, est exposé à un risque d’erreur diagnostique. Ce risque peut-il être formalisé ?
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