Octobre 2002
CONCLUSION
Nous ferions déjà un très grand pas si nous pouvions, dans les prochaines années, par une meilleure formation des médecins généralistes et peut-être aussi par les réseaux
de soins, doubler ou tripler le nombre de diabétiques français de type 2 traités par insuline. Même si les techniques se sont simplifiées, elles restent, surtout pour le patient, de réalisation plus délicate qu’une simple prise d’antidiabétiques oraux.Un minimum
d’éducation est nécessaire pour en limiter les effets secondaires et obtenir la meilleure
efficacité. Il reste, dans le schéma, à définir la place des autres acteurs (spécialistes,hôpital, infirmière, diététicienne).
Nous ferions déjà un très grand pas si nous pouvions, dans les prochaines années, par une meilleure formation des médecins généralistes et peut-être aussi par les réseaux
de soins, doubler ou tripler le nombre de diabétiques français de type 2 traités par insuline. Même si les techniques se sont simplifiées, elles restent, surtout pour le patient, de réalisation plus délicate qu’une simple prise d’antidiabétiques oraux.Un minimum
d’éducation est nécessaire pour en limiter les effets secondaires et obtenir la meilleure
efficacité. Il reste, dans le schéma, à définir la place des autres acteurs (spécialistes,hôpital, infirmière, diététicienne).
Mots clés
Diabète, diabète de type II, éducation patients, effets secondaires,insuline
Diabète, diabète de type II, éducation patients, effets secondaires,insuline