Pour la première fois la SFMG était présente au congrès du CNGE à Montpellier. Comment pourrait-il en être autrement ?
La complémentarité des préoccupations de ces deux structures historiques de la discipline est évidente.
Les plus anciens ont eux, souligné l’évènement et la plupart l’ont apprécié. Si l'initiative revient à la SFMG, qui y pensait depuis deux ans, le mérite est pour le CNGE qui a su être un hôte accueillant. La polysémie du mot hôte illustre bien cette rencontre. Est hôte celui qui reçoit comme celui qui est reçu. Et l’on sait bien que le plaisir d’être invité rejoint celui d’accueillir.
Le millésime 2017 de ce traditionnel congrès a surtout été marqué par le lancement officiel du projet qu’a le CNGE de créer un réseau de recueil national en médecine générale. L’information n’attendait qu’une caisse de résonance comme cette assemblée de près de 1400 maîtres de stage et enseignants. La venue spéciale de Nicolas Revel, directeur de la CNAMTS a donné de la solennité à l’annonce.
L’optimisme est donc maintenant de mise, puisque le directeur n’a exprimé qu’une seule condition au financement de ce projet : qu’il soit porté par la Collège de la Médecine Générale. Cette exigence naturelle ne devrait pas poser de problème.
Notons que Monsieur Revel a replacé ce projet dans l’histoire des réseaux de recueil, et dans la prolongation de l’expérience OMG (Observatoire de la médecine générale) interrompue en 2011.
La SFMG se réjouit que cette idée puisse être reprise en espérant qu’elle sera développée et optimisée avec des moyens nouveaux et la mutualisation des compétences. Ce projet porté seul par la SFMG pendant 18 ans, qui a donné une base de 90 000 patients pris en charge lors de 6 millions d'actes, est en mesure d’être partagé concrètement par l’ensemble de notre profession.
La SFMG soutient cet espoir et est prête à contribuer, à sa place, à la réussite de ce projet.
La complémentarité des préoccupations de ces deux structures historiques de la discipline est évidente.
Les plus anciens ont eux, souligné l’évènement et la plupart l’ont apprécié. Si l'initiative revient à la SFMG, qui y pensait depuis deux ans, le mérite est pour le CNGE qui a su être un hôte accueillant. La polysémie du mot hôte illustre bien cette rencontre. Est hôte celui qui reçoit comme celui qui est reçu. Et l’on sait bien que le plaisir d’être invité rejoint celui d’accueillir.
Le millésime 2017 de ce traditionnel congrès a surtout été marqué par le lancement officiel du projet qu’a le CNGE de créer un réseau de recueil national en médecine générale. L’information n’attendait qu’une caisse de résonance comme cette assemblée de près de 1400 maîtres de stage et enseignants. La venue spéciale de Nicolas Revel, directeur de la CNAMTS a donné de la solennité à l’annonce.
L’optimisme est donc maintenant de mise, puisque le directeur n’a exprimé qu’une seule condition au financement de ce projet : qu’il soit porté par la Collège de la Médecine Générale. Cette exigence naturelle ne devrait pas poser de problème.
Notons que Monsieur Revel a replacé ce projet dans l’histoire des réseaux de recueil, et dans la prolongation de l’expérience OMG (Observatoire de la médecine générale) interrompue en 2011.
La SFMG se réjouit que cette idée puisse être reprise en espérant qu’elle sera développée et optimisée avec des moyens nouveaux et la mutualisation des compétences. Ce projet porté seul par la SFMG pendant 18 ans, qui a donné une base de 90 000 patients pris en charge lors de 6 millions d'actes, est en mesure d’être partagé concrètement par l’ensemble de notre profession.
La SFMG soutient cet espoir et est prête à contribuer, à sa place, à la réussite de ce projet.